vendredi 26 avril 2013

Émotion


Louis Mexandeau

Ce 09 Avril, à l'occasion d'une AG "formation" que la section a organisé, Louis Mexandeau nous a honoré par sa présence afin d'animer le débat autour de l'histoire du Parti Socialiste.

Dans un contexte politique particulier que nous connaissons tous, il n'a pas manqué de nous rappeler les valeurs du parti ainsi que le devoir de militer plus que jamais.

Ce fût un moment  de partage et d'émotion................



La tribune: avec Cédric et Didier 
Leçon d'histoire
No comment
Débat et participation

Affluence
Admiration et applaudissement

Dédicaces
Merci à Didier Antonelli qui l'a invité.

Auteur: Mehdi Mansouri.






mercredi 24 avril 2013

Pot de reprise de cartes

Demain, pot de reprise de cartes à 19h00 en présence de Benoit Hamon, Ministre en charge de la consommation et de l'économie sociale et solidaire, au Studio 18 "18, Rue René COTY/75014". Venez Nombreux.

samedi 20 avril 2013

Moralisation de la vie politique : un discours de vérité.

La cellule Riposte de la section animée par Betty Canizar:


Chère habitante,  cher habitant du 14ème arrondissement,

OUI, l’affaire Cahuzac suscite un choc dans le pays.
Pour vous, pour nous aussi, militants socialistes, elle engendre une légitime indignation.
Nous n’acceptons pas que celui qui fut, sous la droite, président de la Commission des Finances de l’Assemblée nationale, puis, sous la gauche, Ministre délégué au Budget, ait pu détenir frauduleusement des avoirs dissimulés hors de nos frontières .

OUI,  le moment est grave, la confiance est compromise  et cela d'autant plus que nous avons à faire face à une crise économique dont les effets se font chaque jour sentir, et qui  nous frappe durement.

NON, nous n'accepterons pas pour autant  de laisser  résumer la politique au slogan « tous pourris ». La majorité des élus qu’ils soient locaux, nationaux ou européens ont le souci de l’intérêt général. Un cas particulier ne doit pas occulter cette vérité.

NON, nous ne partageons pas la vision de la droite  concernant la dissimulation fiscale.
OUI, nous continuerons de lutter contre la fraude fiscale.

NON, aussi douloureux  que soit cet épisode, nous ne le laisserons pas prendre le dessus, nous  ne dévierons pas  de nos convictions, de nos combats, de nos valeurs.

Le Président de la République a rapidement réagi par une volonté de moralisation de la vie politique en           3 mesures :

                               1 - Publication de la situation patrimoniale des ministres puis des députés et sénateurs.

                               2 - Durcissement des sanctions pénales

                               3 - Parquet spécialisé dans la lutte contre la fraude fiscale,
avec, bien sûr, le renforcement de l’indépendance de la justice et la protection des sources des journalistes .
  
Jérôme Cahuzac a annoncé sa démission de son poste de député. Il n’est plus membre de notre parti. Nous nous en félicitons.

OUI, nous resterons présents, lors des rendez-vous traditionnels, mais aussi au local du Parti Socialiste, le mardi de 18h à 20h  et   le samedi de 11h à 13h.





mardi 9 avril 2013

AG de formation au FIAP

Ce soir à 20h00 aura lieu au FIAP une Assemblée générale de formation portant sur l'histoire du parti socialiste animée par Louis Mexandeau. Venez nombreux.

lundi 8 avril 2013

L'affaire Cahuzac: réaction de Cédric Grunenwald, secrétaire de la section Pierre BEREGOVOY, Paris 14.


L’affaire Cahuzac suscite un choc profond dans le pays. Chez nous aussi, militants socialistes, elle nourrit une légitime indignation : comment accepter que celui qui fut, sous la droite, président de la Commission des Finances de l’Assemblé nationale, puis, sous la gauche, Ministre délégué au Budget, ait pu détenir frauduleusement des avoirs dissimulés hors de nos frontières ?
 Le moment est grave, la perte de confiance sérieuse, le défi difficile à surmonter pour nous et pour notre gouvernement.
 Devons-nous pour autant nous résoudre à hurler avec les loups ? Avec ceux qui exigent la tête du ministre de l’Économie, du Premier ministre, du président de la République ? Avec ceux qui réclament rien moins que la dissolution de l’Assemblée ? Devons-nous rejoindre la horde de ceux pour qui la politique se résumerait au slogan « tous pourris » ?
 Pouvons-nous accepter que ceux qui, il y a une semaine à peine, convenaient que la présomption d’innocence était un principe fondamental, reprochent aujourd’hui au gouvernement de ne pas avoir viré Cahuzac dès la sortie du premier article le mettant en cause, qui n’était en aucune façon une preuve judiciaire ? Pouvons-nous accepter des leçons de la part de ceux qui trouvaient normal que, de façon tout à fait publique, leur propre ministre du Budget – un certain Éric Woerth – soit en même temps trésorier de l’UMP, et qui nous reprochent d’avoir ignoré que, de façon clandestine cette fois, son lointain successeur ait eu des comportements délictueux ? Pouvons-nous supporter de voir notre gouvernement mis en accusation, alors que ce n’est pas ce gouvernement-là, mais le précédent, qui a fait rechercher par la police les sources de journalistes dont les enquêtes le gênaient, et a entravé les démarches de la Justice quand elles le menaçaient ? Pouvons-nous supporter les leçons de morale d’un Jean-François Coppé que son adversaire à la tête de l’UMP, François Fillon, accusait d’avoir pratiqué « des fraudes à l’échelle industrielle » ?
 Oui, aussi douloureux que soit cet épisode, nous ne pouvons pas le laisser nous décourager, nous dévier de nos convictions, de nos combats, de nos valeurs. Nous ne pouvons pas non plus laisser d’autres – à droite et aux extrêmes – l’exploiter avec cynisme pour espérer tirer les marrons du feu.
C’est quand les choses sont difficiles qu’il faut savoir tenir bon.
Amitiés
Cédric Grunenwald
secrétaire de section

jeudi 4 avril 2013

Communiqué d'Harlem désir

Si vous ne voyez pas le contenu de cet e-mail, cliquez-ici.

LE PREMIER SECRÉTAIRE
Paris, jeudi 4 avril 2013,
Cher camarade, chère camarade,
Je t’écris aujourd’hui pour te dire à quel point je comprends la stupeur et la colère qui doivent être les tiennes après les aveux de Jérôme Cahuzac. Je les comprends d’autant mieux que je ressens la même stupeur et la même colère.
Par ses actes d’une extrême gravité, la détention d’un compte dissimulé à l’étranger pour frauder le fisc, et ses mensonges inacceptables, il a trahi la confiance du président de la République, du Premier ministre, du Gouvernement auquel il appartenait, de la représentation nationale, des citoyens, mais aussi des militants socialistes.
Ces actes sont incompatibles avec les exigences de la vie politique et des mandats publics qui lui avaient été confiés. Ils constituent une blessure pour tous les socialistes.
Être socialiste, c’est avant tout avoir des devoirs envers la République et envers les Français. Par ses agissements, Jérôme Cahuzac s’est exclu de fait de notre Parti.
Lors de son intervention télévisée de ce mercredi 3 avril, le président de la République a fait preuve d’une fermeté absolue. Le président de la République et le Premier ministre ont respecté scrupuleusement l’indépendance de la justice. Celle-ci n’a jamais été entravée dans son action. Ils ont fait preuve à cet égard d’un respect exemplaire du principe fondamental de séparation des pouvoirs. Enfin, ils ont pris, dès l’ouverture d’une information judiciaire, les décisions fermes et rapides qui s’imposaient, en mettant fin aux fonctions de Jérôme Cahuzac.
Respect absolu de l’indépendance de la justice et des principes démocratiques, réaction prompte et appropriée: l’UMP ne peut se prévaloir d’une telle attitude, pas davantage hier au pouvoir qu’aujourd’hui dans l’opposition.
François Hollande a annoncé trois décisions majeures pour une République exemplaire, digne de la confiance des Français: renforcer l’indépendance de la justice avec la réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature, lutter contre les conflits d’intérêt avec la publication obligatoire et le contrôle du patrimoine des parlementaires et des ministres, et interdire tout mandat public aux élus condamnés pour délit de corruption ou de fraude fiscale.
La droite et l’extrême-droite essaient de tirer profit aujourd’hui de cette situation pour se livrer à une surenchère politicienne dangereuse: elles instrumentalisent une affaire individuelle à des fins de déstabilisation du Président et du Gouvernement. Nous ne devons pas l’accepter. Il est particulièrement inacceptable de voir l’UMP et le Front national se réunir derrière le même langage et la même exploitation indigne de cette affaire, exploitation délétère qui alimente l’anti-républicanisme.
La situation exige au contraire des dirigeants politiques qu’ils fassent preuve d’un grand esprit de responsabilité et d’éthique républicaine.
Je te demande d’apporter ton soutien le plus complet à l’action déterminée du président de la République au service de notre pays.
La meilleure réponse face à l’adversité et à la crise, c’est l’unité la plus grande des socialistes dans le soutien aux réformes économiques et sociales mises en œuvre pour la croissance, l’emploi, la justice sociale, pour redresser et transformer notre pays dans la durée.
Face à l'adversité, j’appelle à faire preuve de courage et d'engagement, avec pour seule boussole nos valeurs. Tu peux compter sur ma détermination totale: plus que jamais, nous devons mobiliser notre Parti pour la réussite de notre pays et pour la modernisation de nos institutions. Ensemble nous continuerons de mettre notre énergie au service de la gauche qui agit pour la France et les Français.
Amitiés socialistes,
Harlem Désir
Premier secrétaire
 

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Revivez le forum sur la transition écologique

Samedi après-midi s'est tenu à la Bellevilloise le forum sur la transition écologique. Experts, responsables associatifs, politiques se sont succédés pour donner leur vision de la transition écologique. Retrouvez l'ensemble des interventions en vidéo ainsi que le compte-rendu écrit de ce forum.



Harlem Désir: «la transition écologique n’est pas une option mais un devoir»

Le Premier secrétaire, Harlem Désir, a estimé que dédier ce premier forum à la transition écologique était un choix politique fort. Il a également rappelé à quel point socialisme et écologie devaient être liés aujourd'hui: «au XXIème siècle, le socialisme ne peut plus se penser sans l'écologie».





La transition écologique: au cœur du nouveau projet politique de la gauche

Découvrez les orientations issues du débat sur la transition écologique adopté par le Bureau national du mardi 19 mars 2013: «au cœur du nouveau projet politique de la gauche.»